Alita Ronora.

Je me souviendrai toujours de lui, cet homme au visage noir comme la nuit. Je n'étais qu'une enfant le jour ou il a decidé de venir visiter notre ferme. Ma mere, de ce que je me rappele, etait une femme bonne et douce. C'est sans doutes pour cela qu'elle ne c'est pa mefié de lui. Mais alor qu'elle lui avait juste offert l'hospitaliter dans notre modeste ferme, celui ci pour la remercier lui offra une pièce d'or. Je m'en souvien encore, la première pièce d'or que l'on m'ai donné de voir. J'etais faciné par ce bout de metal jaune dont pere parlait si souvent. Mais au fil des jours, le comportement de ma mere évoluait, elle devenait de plus en plus lunatique si bien, qu'elle finissait par moments à oublier ce qu'elle faisait la seconde d'avant. A mon jeune age, je ni pretais guere d'attention, et pourtant une nuit, un enorme bruit me reveilla en sursaut, effrayé, mais curieu, je me leva et alla a la rencontre de ce vacarme incessant, et la tout a coup, a un metre de moi ce dressait un lycantrope qui m'avait l'air famillier... je ne fut pas efrayer a la vus de ce loup garou, et je resta quelques secondes a le regarder, et lui de meme... aprer ces quelques secondes il s'enfuit en courant. Mais ma mere avait disparu en meme temp que le loup, j'avais desuite pensé qu' elle avait été tué par le monstre, mais plus tard je compris que ce monstre et ma mere ne faisait qu'un. Je du me debrouiller seul pour survivre, a mendier dans les villes et a fouiller les poubelles, mais j'avais toujours cette image dans ma tete, ce vieu vagabon qui avait donné cette piece d'or a ma mere. Si c'etait lui le maitre lycantrope... il suffirai de le tuer pour que ces victimes redevienent humaines... mais a mon grand malheur, je me faisais des illusions, ma mere etait et restera loup pour la fin de ses jours.
La haine envers l'homme noir grandit d'annees en annees, ne vivant que pour la vengance, mon coeur d'enfant c'est assombri, et aujourd'hui, que je suis une femme, je vais partir soulager ce coeur si maleureu et peut etre, pourai-je oublier cette histoire, enfin...